Zero to One



Plaisir (entre 💀 et ❤❤❤❤❤)❤❤
Plume (entre 💀 et ✒✒✒✒✒)
Langue de lecture🇬🇧
Âge du lecteur27
Pages (Kobo Clara HD)229

De quoi ça parle ?

Peter Thiel est un des fondateurs de Paypal et Palantir. Il joue de ces deux expériences, mais aussi de celles de ses amis, comme arguments pour sa vision du business. Le plus dur, c'est de passer de 0 à 1, et non de 1 à n. Ainsi, en choisissant la première voie, on se créée une forme de monopole et évite au maximum la compétition. En compétition (parfaite), il n'y a aucun bénéfice à faire, dit-il !

Ce que j'ai apprécié

Ce qui m'a rebuté


Quelques perles

Dualité entre entreprendre et avoir un projet social

Les entrepreneurs sociaux visent à combiner le meilleur des deux approches en "faisant bien de faire du bien". Typiquement, ils n'accomplissent ni l'un ni l'autre.

L'ambiguïté entre les buts sociaux et financiers n'aide pas. L'ambiguïté du mot "social" est elle-même problématique : si quelque chose est socialement bien, est-ce bon pour la société, ou est-ce qu'il suffit d'être perçu comme bien faisant ?

C'est un vrai coup de boule de retour à la réalité pour moi. Avoir une mission, c'est bien, mais il ne faut pas perdre de vue l'aspect financier d'une entreprise, et arriver à justifier sa mission par un retour financier. Ce n'est pas forcément incompatible. Demain (Cyril Dion, Mélanie Laurent) montre des entreprises qui ont fait le choix de la résilience par-dessus celui de la croissance. La finalité financière reste ainsi au coeur du projet.


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